La Traque d’Adeline – Tomes 1 & 2 (L’Ombre d’Adeline – Tome 1 & La Traque d’Adeline – Tome 2)

Tome 1 – L’Ombre d’Adeline – Tome 1

Dans ce premier volet, Adeline (« Addie ») est une jeune auteure à succès qui hérite du vieux manoir de sa grand-mère après son décès.
En s’installant dans cette demeure chargée de secrets, elle se retrouve confrontée à des ombres du passé : un journal intime de l’arrière-grand-mère, un meurtre non élucidé, et une atmosphère de danger qui la hante. 
Côté masculin, surgit un homme mystérieux, dark, intense, voyeur, imprégné de pulsions qu’Addie ne contrôle pas, et le jeu de la proie / du prédateur s’installe lentement : fascination, peur, désir, menace.
L’ambiance est sombre, très psychologique : peur, manipulation, tension sexuelle, danger latent. On assiste à la bascule d’une femme qui croyait simplement emménager dans un héritage tranquille à celle qui fait face à ses traumas et à sa vulnérabilité.
Le tome pose les fondations : qui est Adeline, quel est son passé, que cache le manoir, qui est cet homme qui semble l’observer, et surtout : jusqu’où ce jeu va-t-il aller.
À noter : ce premier volume contient déjà des scènes fortes, de la violence psychologique, des zones de zone de malaise, il s’adresse à un public averti. 

Tome 2 – La Traque d’Adeline – Tome 2

Dans le second volet, l’histoire repart là où le premier s’est arrêtée, mais l’intensité monte d’un cran. Addie se retrouve soudain projettée dans un univers encore plus cru. Selon les résumés : elle est séquestrée, “maintenue prisonnière”, et doit survivre dans un environnement de prédateurs.

Pendant ce temps, l’homme du premier tome, Zade ou « le chasseur », se met en quête de la retrouver, prêt à laisser éclater ses zones d’ombre pour ramener ce qu’il considère comme sienne.

Le décor est sombre, beaucoup plus implacable : la violence est explicite, le trauma devient central, la psychologie des personnages est mise à l’épreuve. Addie doit se reconstruire, choisir, se battre. Zade doit affronter ses démons et son obsession. L’équilibre entre domination et libération, entre victime et actrice de sa vie, devient un enjeu.
Le tome deux se présente comme la conclusion de la duologie : tout ce qui a été amorcé dans le tome 1 trouve son dénouement, mais pas nécessairement paisible ou lumineux.